Vendredi 13 septembre 2019, l’Institut culturel italien de Lyon organise une journée Portes ouvertes. Une belle occasion de découvrir les locaux qu’il partage depuis un an avec le Goethe-Institut, avec des salles de cours, une bibliothèque qui constituent ce lieu culturel européen entre Rhône et Saône. Rencontre avec Anna Pastore, sa directrice, qui entame sa deuxième année dans l’antique cité gallo-romaine.
Une journée Portes ouvertes est une belle occasion de découvrir et rencontrer. Découvrir les locaux …
L’assemblée du désert avait lieu dimanche 1er septembre à Mialet dans le Gard. Au cœur des Cévennes protestante, et à l’occasion du 500e anniversaire de sa naissance, il était naturel de revenir sur la personnalité de Théodore de Bèze. Tout à la fois pasteur, successeur de Calvin, professeur de droit, théologien et homme politique, ce Français réfugié à Genève fut aussi un poète et écrivain. Après le culte dominical, deux universitaires, Olivier Milliet et Pierre-Olivier Léchot sont revenus sur la …
Mialet (Gard) est un des hauts-lieux du protestantisme. Avec son musée rénové, c’est une plongée dans la Réforme et dans l’histoire de la résistance à la répression royale qui voulait imposer la religion catholique. Cultes cachés du désert, lutte des Camisards sont des éléments d’un mémorial qui entend fortifier la foi des fidèles. Aussi, l’Assemblée du désert constitue-t-elle un beau moment de l’année religieuse qui s’ouvre. Cette année, elle revêtait un caractère exceptionnel avec la célébration du 500e anniversaire de la naissance de Théodore de Bèze, poète, théologien et homme politique. Échos sonores et entretien avec Emmanuelle Seyboldt, présidente de l’Église protestante unie de France (EPUdF).
Au Mas Soubeyran, situé en bordure d’un bel endroit boisé dans la commune de Mialet, on se pressait cette année encore pour le culte du matin et pour le temps de conférence de l’après-midi.
La célébration avec Sainte-Cène s’est ouverte avec un texte de la Bible hébraïque, extrait du prophète Esaïe, lu par le pasteur Vincent Hubac qui présidant cette assemblée.
Après la lecture d’un texte de la Première Alliance avec le psaume 42 : « Comme un cerf altéré brame », que s’est poursuivi ce culte de la rentrée protestante 2019.
Dans une célébration protestante, le moment important est celui de la prédication. Après la lecture de la parabole du semeur, le pasteur Hubac a livré son approche.
Pour lui, ce texte connu mondialement porte en lui toute la promesse du Royaume, avec un Dieu vivant qui sort de lui-même, révélé en Jésus-Christ, loin des idoles toujours présentes dans notre monde contemporain.
La part des chants, »spontanés » ou cantiques, est importante dans une assemblée protestante, comme dans les rassemblements d’autres confessions chrétiennes (catholique, orthodoxe, arménienne, anglicane…).
Avant l’ouverture officielle de cette Assemblée du désert 2019, c’est un psaume traduit par Théodore de Bèze qui constituait le prélude.
A l’issue du culte, Emmanuelle Seyboldt, présidente depuis deux ans de l’EPUdF a fait le point sur la vie de l’Église.
Le choix d’une étude des questions écologiques se traduira par des débats lors des assemblées régionales de novembre 2019 avant une délibération nationale en mai 2020 lors du synode nationale. Elle atteste, que comme ils le font avec l’accueil des réfugiés, les protestants n’entendent pas se réfugier dans les autres sphères spirituelles, mais bien d’établir un lien concret entre foi en Jésus-Christ et vie quotidienne.
Cette Assemblée du désert 2019 était placée sous le signe de Théodore de Bèze, poète, homme politique, pasteur et théologien.
C’est en chanson que les amoureux des coquelicots du Bassin viennois se sont retrouvés vendredi 6 septembre pour la douzième fois devant la mairie de Vienne (Isère). Leur préoccupation reste la même : l’interdiction du glyphosate et des autres pesticides de synthèse. Elles et ils répondaient à l’appel lancé l’an passé par Fabrice Nicolino et François Veillerette, une pétition qui a recueilli 800 000 signatures à ce jour. Échos sonores de ce rassemblement et entretiens avec des participants qui montrent la vitalité persistante …
Dans la foulée des marches pour le climat et des rassemblements Nous voulons des coquelicots, les militant.e.s d’Action non violente-Cop 21 (ANV Cop21) ont multiplié les décrochages du portrait du président de la République. Comme à Bourg-en-Bresse, le 28 mai dernier, Fanny Delahalle et Pierre Goinvic étaient traduits au tribunal de grande instance de Lyon ce lundi 2 septembre 2019. Retour sur ces actions et sur la mobilisation citoyenne.
Comme chaque premier vendredi du mois depuis octobre 2019, le mouvement Nous voulons des coquelicots invite à se réunir devant la mairie de sa commune à 18h30. Ce sera le cas à Vienne (Isère) ce vendredi 6 septembre 2019, avec un objectif : réaffirmer une nouvelle fois que les pesticides sont mortels et qu’il faut en interdire la production et l’usage. Lundi 2 septembre, pour accompagner les militants d’ANV-Cop 21, inculpés pour décrochage du portrait du président de la République, la question de l’avenir …
Deux vielles chapelles, à Condrieu (Rhône) et à la Chapelle-Villars (Loire) vous invite les prochains week-end à vous arrêter pour admirer toiles, collages sculptures et céramiques. Des installations qui tissent des liens, jouent sur les connivences pour mieux instaurer le dialogue. Suivez le guide.
» J’ai du partir un soir d’hiver, dans la brise, dans le froid,
Pas de dernières bises, les adieux sont mieux ainsi,
Je les crois ainsi faits, Les adieux sont insipides…
Il est des haltes estivales, rafraichissantes pour le corps et enrichissantes pour les yeux. Et quand en plus la musique s’en mêle, alors c’est un ravissement qui conduit à élever son esprit. Invitation à faire halte à la vieille chapelle de la Visitation de Condrieu (Rhône) où expose jusqu’au 1er septembre 2019 le peintre et plasticien Doud.
Quoi de mieux pour s’informer et de se forger un avis éclairé qu’un bon livre ? La période d’été est idéale pour cela. Nous vous en proposons quelques uns, tous très facile d’accès, qu’il s’agisse de roman comme celui de Gisèle Bienne, ou de petites études tels les différents petits opuscules de Fabrice Nicolino. Tous ont trait à la préservation de la nature, à l’agriculture et aux pesticides, dont le glyphosate.
Reportage, texte et photos, de Bernard Dérédec, Breton d’origine lorientaise, Lyonnais de cœur et militant syndical
En breton « Le Bihan » veut dire « le petit ». Tu portais bien mal ton nom mon pauvre Jean-Marc car pour moi tu resteras le GRAND chanteur des rues, le GRAND poète engagé.