Rentrée littéraire : Et si l’on parlait du Polar (et de BD) ?

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Par Jean-François Cullafroz-Dalla Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève)

Début juillet, le festival Quai du polar avait anticipé la rentrée littéraire avec son rendez-vous annuel en l’Hôtel de ville de Lyon (© Pierre Nouvelle).

Plus de 500 ouvrages seront au menu de la rentrée littéraire 2021. Nous avons choisi de présenter un auteur lyonnais, inscrit dans la tradition du roman policier. Gilles Caillot présentait du 2 au 4 juillet 2021 son dernier ouvrage.

Depuis une quinzaine d’années, cet amoureux de suspense et d’intrigues développe avec une régularité annuelle des thrillers inscrits dans l’actualité (© Pierre Nouvelle).

Tout comme la BD, le polar n’est pas un genre mineur dans le domaine du livre. Et la succession des publications n’est pas étrangère à l’intensité de la production littéraire. Le Lyonnais Gilles Caillot est un bon exemple de cette fébrilité. L’ange du mal, Je te hais, Bas-fonds sont quelques unes de ses œuvres dans une création ininterrompue.

Gilles Caillot, un informaticien tombe dans la marmite de l’écriture, témoigne de son parcours et de ses projets. Des ouvrages où l’Ouest lyonnais et sa commune de Francheville (Rhône) sont souvent présentes.

Concernant la rentrée littéraire qui s’annonce, et parmi les conseils que vous dispensera votre libraire, ou les médias que vous consulterez, je vous conseille la sélection de dix livres récemment présentée par France Culture et l’hebdomadaire L’Obs. Par tropisme familial, j’ai choisi le dernier livre de ma consœur italienne Simonetta Greggio.

Simonetta Greggio a aussi produit sur France Culture une série radiophonique
estivale consacrée à Mussolini (© DR).

Et la BD dans tout cela ?

Nous le disions, le 9e art, n’est pas un vecteur mineur dans le monde littéraire. Tout au moins aux yeux des membres de la population.

Sans négliger la foultitude des mangas et de leurs attraits pour la jeunesse, nous reviendrons sur deux valeurs patrimoniales disparues récemment, et qui ont fait récemment l’objet de magazines-hommages, tels ceux de notre confrère Le Parisien (Albert Uderzo et son fils Astérix) et Le Monde (Lucky Luke et Morris, son papa), sans oublier bien sûr le scénariste René Goscinny, qui fait le lien entre les deux dessinateurs.

Mon compatriote Uderzo et Maurice de Bevere dit Morris et son héros Lucky Luke sont des figures de proue de la bande dessinée du 20e siècle (© Pierre Nouvelle), avec pour trait d’union René Goscinny, dès leurs premières aventures dans les revues Spirou et Pilote (© Pierre Nouvelle). .

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