Festival des solidarités internationales de Lyon (1) : la diversité à la une

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Par Jean-François Cullafroz-Dalla Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève)

Le festival des solidarités internationales ne s’était pas tenu à Lyon depuis 2019, Covid oblige. Aussi, c’est avec beaucoup d’enthousiasme que plus de quarante associations se sont présentées samedi 6 novembre 2021 dans l’atrium de l’Hôtel de ville de Lyon (Rhône). Le public n’a pas fait défaut, et toutes les tranches d’âge étaient au rendez-vous des solidarités.

Lancé il y a plus de 20 ans, le Festival des Solidarités est un rendez-vous international pour promouvoir et célébrer une solidarité ouverte au monde et aux autres.

Du 12 au 28 novembre, En France, en Europe, en Afrique…

Il se déroule du 12 au 28 novembre 2021 sous forme d’une quinzaine. Des animations ont lieu partout en France et aussi en Europe, et en Afrique comme au Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Congo, Guinée, République Centrafricaine, Togo…

A Lyon, on a devance le calendrier, et le collectif associatif placé sous la houlette de la Maison des solidarités a ouvert la quinzaine dès le samedi 6 novembre.

Andra Saburny, une des responsables de la Maison des solidarités explique les tenants et aboutissants de l’initiative solidaire rhodanienne.

L’atrium de l’Hôtel de ville de Lyon était bien garni. Visiteurs et partenaires venus d’ailleurs se rencontraient, échangeant informations, propositions d’actions dans une grande diversité culturelle.

Ainsi, Bikoyi Bilombo, venu de Brazzaville, était au côté d’associations qui incitaient à la lecture et aux arts plastiques. Muni d’un sanza, « piano à pouces », ce jeune congolais explique l’intérêt que représente ce festival.

Toujours dans le registre jeune, d’anciens étudiants en architecture présentaient le projet solidaire Re-Use the resource,qu’ils développent pour aider la ville arménienne de Gyumri, qui peine à se relever d’un tremblement de terre.

Hugo Daguillon et Thomas Tronville et Juliette Wieruszeski, œuvrent de concert dans le cadre de l’École urbaine de Lyon, avec une collègue arménienne Anna Manukyan. Juliette Wieruszeski précise pourquoi des jeunes agissent pour la solidarité.

(à suivre)

Notre prochain article :

Festival des solidarités internationales de Lyon (2) : solidaires et joueurs…

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