Par Jean-François Cullafroz, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève).
Si les questions de souveraineté et de sécurité ont souvent été mis en exergue, les sujets sociaux, d’environnement ou de culture ont manqué au débat entre les douze candidat.e.s (© Pierre Nouvelle).
La campagne électorale pour le 1er tour des élections présidentielles s’est clôturée vendredi soir 8 avril 2022. Trois jours avant ce rendez-vous quinquennal, les militant.e.s étaient en campagne. Sur la 11e circonscription du Rhône, Jean-Luc Fugit, le député sortant écumait les marchés. Rencontre à Ampuis (Rhône).
Le député sortant Jean-Luc Fugit passe pour un homme de dialogue. Spécialiste des sciences à l’Université Jean Monnet à Saint-Étienne, dont il a été vice-président, cet ancien militant socialiste cultive les contacts avec la population et réussit plutôt bien. Il faut dire que sa faconde aveyronnaise aide bien, y compris sur des sujets arides.
Secrétaire de la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, il est aussi un militant de la République en marche.
A quatre jours du rendez-vous électoral, il ébauche une analyse de la situation où la montée de la droite extrême génère de sérieuses interrogations.
Dimanche 10 avril à 20 heures, on en saura plus sur le duo en lice pour le second tour de l’élection présidentielle.
