Par Karim Lafairouz, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien de Genève)
Le 16 janvier 2021, les opposants aux lois Sécurité globale et contre le séparatisme défilaient dans le Rhône, entre Lyon et Villeurbanne. Parmi eux, beaucoup de jeunes et des artistes étaient de la partie, pour défendre les libertés publiques, mais aussi faire entendre la douleur des acteurs de la culture empêchés de s’exprimer. Reportage et entretiens.
Ils étaient près de 5 000 à marcher pour les libertés le 16 janvier 2021. Dans le cortège, des manifestant.e.s « classiques », avec banderoles et pancartes, mais aussi des artistes, comme les membres de la Brigade activiste des clowns, partie prenante du mouvement Alternatiba.
Jérémy explique leur présence dans cette manifestation
La marche a accueilli pour la première fois des teuffeurs. Gaël, membre du groupe Sound System, situe sa présence très sonore comme une démarche naturelle.
La participation des acteurs culturels allaient de pair avec celles des militant.e.s très divers.e.s.
C’est le cas de Josette, cet ex-institutrice, syndiquée au Sgen-CFDT a rejoint le mouvement Attac, une fois arrivée à la retraite. Elle témoigne des raisons de sa présence.
(à suivre)
Notre prochain article : Libertés publiques : à Lyon et à Vienne, on marchera encore le 30 janvier 2021