Reportage de Jean-François Cullafroz-Dalla Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève)
Quel qu’ait pu être le destin de l’Auberge de Collonges au registre du Guide Michelin, Paul Bocuse, son fondateur a inscrit la cuisine lyonnaise au palmarès mondial de la culture et des traditions ( © DR/La Cuisine des gones).
Parler de la cuisine lyonnaise, c’est entrer dans une tradition plus que centenaire? Dans la filiation des « Mères », Paul Bocuse fut un des représentants les plus connus internationalement. Avec ou sans étoile, les authentiques cuistots lyonnais méritent d’être rencontrés.
A l’aune de Guignol et Gnafron, emblèmes lyonnais, les bouchons proposent des spécialités lyonnaises ( © DR/Café Brunet ).
Entretien avec Gilles Maysonnave, qui a officié plusieurs décennies chez Brunet.
Ce cuisinier émérite se souvient de son parcours personnel qui lui a permis d’obtenir le prix de La marmite d’or décerné par l’hebdomadaire Le Patriote beaujolais et son chroniqueur gastronomique Yvon Chatain.
Une lignée qui maintient la tradition
Le touriste non averti qui débarque dans le Vieux-Lyon ou dans la presqu’île aura l’embarras du choix entre les restaurants qui s’affichent comme de véritables bouchons lyonnais.
Gilles Maysonnave regarde évoluer la cuisine. Il constate que la tradition ne faiblit pas et donne quelques bonnes adresses.
Affaire à suivre autour d’une bonne table en compagnie des amis qui font bonne chère régulièrement le mercredi…