Les 130 ans du cinéma (3) : A Vienne (Isère), avec Cinéclap, Hugo Cabret était sur l’écran…

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Dans le film Hugo Cabret, le réalisateur Martin Scorsese revisite l’histoire du cinéma (© DR).

Par Jean-François Cullafroz-Dalla-Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier L’association (quotidien à Genève).

Moment émouvant où le jeune enfant Hugo Cabret rencontre Georges Mélies, un pionnier du cinéma (©DR).

A Vienne (Isère), l’association Cinéclap a entamé depuis janvier 2025, la célébration du 130e anniversaire des débuts publics du cinéma. Après la projection de film Le Naméssime, Laissez-passer et Hugo Cabret, deux autres longs métrages seront programmés les 13 et 17 mars. En attendant, dès le lundi 3 mars,comme chaque mois, les cinéphiles auront droit à un film surprise. Retour sur la soirée consacrée au film de Martin Scorsese.

On peut poursuivre la découverte de l’histoire du cinéma en visitant le musée Mélies à Paris (©DR).

C’est en revisitant l’histoire du cinéma que Cinéclap a décidé de marquer cet anniversaire, des premiers essais de Georges Méliés, à l’aventure des frères Lumière, puis des films burlesques de Buster Keaton et Edward Sedgwick jusqu’au cinéma italien de Giuseppe Tornatore.

Lundi 17 février 2025, Dominique Duvillard, présidente de Cinéclap présentait la soirée-hommage à Martin Scorsese, en rappelant quelques traits de ce grand réalisateur américain.

Le cinéaste a délibérément situé à Paris le film Hugo Cabret, et cela ne relève pas du hasard. En effet, si de par le monde entier, on attribue la paternité du 7e art et de la projection publique des films à Auguste et Louis Lumière, on oublie souvent les précurseurs, tel Georges Méliès.

La rencontre entre un jeune garçon et le génial Méliés est un moment intense d’émotion, qui se joue en plusieurs séquences : du magasin de bibelots au cœur d’une des gares parisiennes à l’appartement où l’inventeur vit reclus.

Une merveilleuse rencontre pimentée par l’amitié entre le jeune garçon et la petite fille du précurseur du cinéma.

Jean-Pierre Salomone, un cinéphile viennois assidu a vu dès sa sortie en salle le film Hugo Cabret. Piochant dans ses souvenirs, il livre ses impressions.

Pour prolonger le visionnement d’Hugo Cabret, et prolonger sa découverte de l’histoire du cinéma, on peut se rendre au musée Méliés à Paris, et à l’Institut Lumière à Lyon, où se prépare un événement pour le 19 mars 2025, jour-anniversaire s’il en est…

(à suivre)

Notre prochain article :

Les 130 ans du cinéma (4) :

A Vienne, avec Cinéclap, honneur à Buster Keaton

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