Par Jean-François Cullafroz-Dalla-Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève).
Tresser des futurs désirables était le thème de la 37e édition de Primevère du 16 au 18 février 2023. Un salon où se sont pressés plusieurs dizaines de milliers de personnes autour de thèmes de société les plus divers. A coté des questions de santé, de mobilité, d’alimentation, de bien-être et de lutte contre le dérèglement climatique, les propositions d’information alternative avaient toute leur place.
Comme elles le font depuis le début de l’aventure Primevère, les radios libres tiennent un studio à l’entre du salon. Parmi les radios auralpines, Radio Grésivaudan joue un rôle local et citoyen depuis quarante ans.
Céline Léonardi est une des salariés de cette station iséroise. Elle explique ce qu’est une radio associative.
Thierry Gilbert préside Tenk, une plate-forme qui assure la diffusion en ligne du cinéma documentaire. Son association basée à Lussas (Ardèche), haut-lieu du cinéma d’auteur était à Primevère pour la première fois.
Il détaille les raisons de sa présence.
Voir des films est une chose, passer derrière la caméra en est une autre. Plume studios propose cet apprentissage, notamment au milieu associatif. Alexandre Iaconni souligne l’intérêt de cette démarche d’éducation populaire.
(à suivre)
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Salon Primevère 2023 (5) : Entre humusation et démétropolisation…