A Paris, la place du Trocadéro était noire de monde, comme le matin à Rennes, et l’après-midi dans une vingtaine de villes. Échos de ce rassemblement et interviewes de participants.
Aussi, ce sont les journalistes qui ont ouvert le flot des interventions qui dureront deux heures. Et tout d’abord, un reporteur localier, salarié du Courrier à Angers : Emmanuel Poupard, Premier secrétaire général du Syndicat national des journalistes (SNJ).
La Ligue de droits de l’homme (LDH) maintient la cohésion de cette coordination nationale de plus de 60 organisations : journalistes, réalisateurs, cinéastes, association des droits humains… L’avocat parisien Arié Alimi, membre du bureau national de la LDH est une personne fédératrice au sein de ce mouvement. Dès le début de l’après-midi, il a donné le ton aux manifestants : tous journalistes car ils sont les derniers remparts de la démocratie.
Quatre syndicats de journalistes étaient là, et Emmanuel Vire, secrétaire général du SNJ-CGThttps://snjcgt.fr/ a rappelé combien cette lutte rejoignait les combats pour la liberté.