Reportage de Jean-François Cullafroz-Dalla Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève)
Après une trentaine d’année en informatique, Alain Decortes a décidé de laisser les mathématiques pour l’écriture. Début janvier 2020, cet habitant du bassin viennois a publié « Mémoire de glace« , un quatrième roman qui fait suite à trois pièces de théâtre. Cet amoureux des mots et des histoires bien ficelées aime à s’expliquer. Rencontre avec l’auteur lors d’une signature au siège de l’atelier d’art Le bois qui chante à Condrieu (Rhône).
A l’orée de l’an 2000, après trente années entre études d’informatique au lycée à Vienne (Isère) puis en IUT à Grenoble, puis exercice de la profession dans différentes sociétés de services, Alain Decortes a décidé de voler de ses propres ailes et a créé une société de conseil.
Un changement professionnel qui lui a laissé du temps et lui a permis d’assouvir sa passion de l’écriture.
Du jeu théâtral à l’écriture des pièces
Passionné de théâtre depuis ses études lycéennes au lycée Ponsard à Vienne, il s’est mis à compose des pièces de boulevard. C’était une demande des comédiens amateurs de la compagnie d’amateurs qu’il avait lancée à Condrieu.
Puis est venue l’écriture de trois romans. Avec trois pièces et quatre livres, une question se pose : comment naissent les histoires. Alain Decortes détaille sa démarche.
Quand on frise les 70 ans, qu’on a bien réussi dans sa vie professionnelle et personnelle, et après trois pièces de théâtre et quatre romans, a-t-on encore des projets.
« J’en ai plein la tête », répond enthousiaste Alain Decortes qui a garanti ses parutions grâce aux Editions du Loir basées à Chateaudun (Eure-et-Loir).
Sur ce chemin littéraire, Alain Decortes continue à cultiver l’amitié, notamment dans la ville de Condrieu où il lancé Tac au Tac, un festival de théâtre amateur. Il fait part de ses projets, particulièrement d’un cinquième roman qui est déjà) en chantier.