Reportage de Jean-François Cullafroz-Dalla Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272, correspondant du Courrier (quotidien à Genève)
Une fois de plus, le rendez-vous le plus important du cinéma italien après la Biennale de Venise a réussi ce pari lancé il y a plus de trois décennies.
Près de 20 000 spectateurs ont fréquenté les salles qui étaient la plupart du temps pleines. Qu’il s’agisse du Centre Bonlieu, vaisseau-amiral du festival, des salles du cinéma Les Nemours dans la vieille ville, ou de la Turbine à Cran-Gevrier, en passant par le Mikado, sazlle implanté dans le MJC du quartier de Novel.
Samedi soir, au terme de cinq journées de projections, de débats et d’ateliers, le palmarès 2019 a été défloré dans la grande salle du théâtre Bonlieu.
GRAND PRIX DU JURY
La scomparsa di mia madre de Beniamino Barrese
PRIX SPÉCIAL DU JURY
Effetto Domino de Alessandro Rossetto
MENTION SPÉCIALE DU JURY
Il varco de Federico Ferrone, Michele Manzolini
PRIX CICAE
La scomparsa di mia madre de Beniamino Barrese
PRIX DU PUBLIC
Maternal de Maura Delpero
PRIX DU JURY JEUNE
Effetto Domino de Alessandro Rossetto
Au-delà de ces films primés, les six jours du 37e festival ont été l’occasion de rencontrer des acteurs-trices et réalisateurs-trices, de débattre et surtout de voir des films en avant-première.
Tout avait commencé d_ès la soirée du lundi 23 septembre 2019 avec la projection du film Il tradittore de Marco Bellochio, en présence de son acteur-vedette, PierFrancesco Favina accueilli par le directeur du festival Francesco Giai Via.
(à suivre)
37e festival de cinéma italien d’Annecy (2) : Tomasso Buschetta et PierFrancesco Favina