Reportage de Jean-François Cullafroz-Dalla Riva, journaliste professionnel honoraire, carte de presse 49272
Michèle Dupré participe à la préparation du colloque CFDT 1968-2018 durant lequel elle interviendra sur les actions militantes contre la centrale de Creys-Malville (Isère) en 1976. En 1968, Michèle Dupré était élève en terminale au lycée Juliette Récamier dans la presqu’île lyonnaise. De l’autre côté du Rhône, les facultés étaient en grève. Cinquante ans plus tard, cette chercheuse en sociologie du travail poursuit sa carrière universitaire au sein du Centre Max Weber, en lien avec le CNRS et l’Université Lyon 2. Au cours de l’entretien qu’elle nous a accordé, elle précise ce que représente aujourd’hui le mouvement étudiant et social de mai-juin 68. Elle détaille le legs de mai-juin 68 dans la vie des entreprises, les options du mouvement syndical et la conception des rapports sociaux entre dirigeants d’entreprises et salariés.
21-22 mars 2018 : colloque à l’Université de Lyon
On retrouvera Michèle Dupré lors du colloque CFDT 1968-2018 qui se déroulera les 21-22 mars 2018 à l’Université de Lyon. Le 21 mars, en après-midi, sa contribution portera sur La CFDT face à l’engrenage du tout nucléaire.
Ce colloque sera prolongé par la parution d’un livre mi-mai aux éditions de la Chronique sociale.
L’entrée de ce colloque est libre, mais on pourra bénéficier du repas (restau U-Crous) et souscrire au livre les 21 et 22 mars à la porte du grand amphithéâtre de l’Université de Lyon (24 € un repas + livre, et 35 € : deux repas + livre).

Une quarantaine d’enseignants, chercheurs et acteurs sociaux interviendront les 21 et 22 mars à Lyon et débattront avec le public sur la période 1968-2018 dans la région Auvergne-Rhône-Alpes (© DR/CFDT du Rhône).
Rendez-vous : Grand amphithéâtre de l’Université de Lyon 92 rue pasteur – Lyon 7e les 21-22 mars (9h-18h).